Jazmine Abernathy
◭ messages : 22 ◭ date d'inscription : 04/04/2012 ◭ pseudo : foolish spirit. ◭ avatar : astrid bergès-frisbey. ◭ crédits : avatar @ honey pie.
| Sujet: (m) au choix ◭ somewhere only we know. Ven 6 Avr - 22:05 | |
| - Citation :
Sully, Ericksen. I will not lie to you, you attract me and this is where lies the true essence of the problem...
NOM ◭ Ericksen, modifiable. PRÉNOM(S) ◭ Sully, modifiable. SURNOM(S) ◭ au choix.ÂGE ◭ entre vingt-trois et vingt-cinq ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ◭ au choix, mais il doit être à Anchorage depuis assez longtemps pour s'être correctement intégré, minimum trois ans. MÉTIER/ÉTUDES ◭ policier, non modifiable. SITUATION FINANCIÈRE ◭ au choix, je dirais assez modeste. STATUT CIVIL ◭ célibataire, modifiable mais ça doit correspondre avec leur lien. TRAITS DE CARACTÈRE ◭ actif, affectueux, aimable, amusant, ambitieux, attentif, autonome, bavard, bienveillant, calme, chaleureux, compétitif, critique, curieux, direct -plus ou moins selon les sujets-, doux, économe, engagé, habile, humain, humble, impulsif, intuitif, joueur, loyal, minutieux, ouvert d'esprit, perfectionniste, polyvalent, rationnel, réfléchi, responsable, rusé, sensible, sérieux mais aussi anxieux, borné, coléreux, un tantinet complexé, envahissant, excessif, hésitant, plutôt influençable, lunatique, naïf, nerveux, rancunier, revanchard, susceptible, etc. GROUPE ◭ au choix. AVATAR ◭ au choix, je ne suis pas bien difficile à ce sujet mais je me garde un droit de veto. CREDITS ◭ fuckyeahgifs @ tumblr ▽ ▽ ▽ l'histoire du personnage est totalement - du moins quasiment - libre, du moment qu'elle colle avec les bases données par le scénario ◭ le fait qu'il soit flic peut être une vocation - suite à un évènement précis ou non - ou bien par défaut, ne pouvant être ce qu'il aurait voulu être ◭ niveau sentimental je ne le vois pas trop coincé, seulement assez hésitant peut-être dû à une relation passée assez désastreuse ◭ il pourrait être veuf ? ◭ très porté famille, c'est quelqu'un de vraiment chaleureux et généreux. il a le coeur sur la main et ne s'en cache pas ◭ il aime tout ce qui est fête traditionnelle ◭ il a été élevé de façon plutôt vieille école ◭ il a beaucoup de manies et d'habitudes dont il ne se rend même pas compte ◭ il prend soin de son corps, mais adore les fast food ◭ très engagé dans ce qu'il fait, il ne lâche pas l'affaire de si tôt ◭ ceci n'est à prendre qu'à titre indicatif, faites-en ce que vous voulez ! Il n'y a pas grand chose à dire de la relation qui uni Jazmine et Sully. Ils ne se connaissent que très peu et ne se sont côtoyés que dans un unique endroit qui n'invite pas aux rencontres durables : le commissariat. en rédac.
- extrait de ma présentation:
Allongée sur le lit de ma cellule - si on peut appeler ça un lit - je fixais le mur sans un bruit. J'étais désormais habituée à cet endroit, mais ne l'appréciais toujours pas pour autant. Je prends la relève, tu peux rentrer chez toi. Passe le bonjour à Sussy de ma part. Cette voix plus ou moins familière me sortis de mes songes. Je me relevais doucement et m'adossais au mur, les jambes repliées sur le lit. Il pénétrait dans la pièce et je me forçais à ne pas lui accorder mon attention. Jazmine, si on m'avait dit que tu serais là, j'aurais fais un effort vestimentaire. déclara-t-il le sourire aux lèvres. Ses paroles se voulaient gentilles, pourtant je restais de marbre et répondit froidement. T'aurais troqué ta chemise bleue pour la blanche qui est de tout aussi mauvais goût ? Il rit doucement et je relevais la tête pour finir par lui sourire à mon tour. Il avait beau être policier et donc un ennemi par défaut, il avait ce petit sourire sur le visage qui aurait rendu confiant n'importe qui, même la plus méfiante des personnes. Qu'est-ce qui t'amène ici cette fois-ci. Je me redressais légèrement sur mon siège inconfortable et croisais les jambes en indienne. Manifestation sur la voie publique. Les fourrures ... Tu savais qu'on tuait des centaines de renards par années juste pour ces merdes ? Des centaines ? C'est vraiment dégueulasse, surtout que c'est le genre de choses inutiles dont on se passerait volontiers. Mais on ne t'aurait pas arrêté seulement pour ça, tu aurais dû partir comme les autres ... J'allais pas partir comme une fillette, surtout lorsqu'il y a un enjeu comme celui-là ! Sérieusement ? Atteinte à un officier ... dis-je à mi-voix, assez honteuse. Il me regarda avec étonnement. Certes j'étais une habituée du coin, mais jamais je n'étais allée aussi loin. Il étouffa un rire certainement nerveux et m'incita à en dire plus. Je lui ai, comment dire ... légèrement craché au visage. Je tournais la tête dans une autre direction, portant mes doigts à mes lèvres. Tic nerveux qu'il m'arrivait à faire lorsque je ne me sentais pas à mon aise. Vraiment ?! Mais ... pourquoi tu, enfin ... Hey ! Il avait craché sur ma pancarte ce merdeux et on crache pas sur ma pancarte. J'y avais tout mon amour et il a craché dessus ... Je faisais la moue, telle une petite fille qu'on venait de priver de dessert. Il se mit à rire doucement et je fis de même jusqu'à ce qu'il dise, sans arrière pensée. T'es vraiment pas croyable comme nana. Je restais bloquée sur ses paroles. Je ne savais pas vraiment comment le prendre. Bien ou mal ? Dans tous les cas, son avis m'importait peu. La conversation continua de plus belle et rendait la situation de plus en plus étrange. Un policier papotant tranquillement avec une - on va dire - détenue pendant ses heures de boulot, c'était pas ce qu'il y avait de plus fréquent au commico. C'est l'heure du dîner, je vous apporte votre super plateau repas avant d'aller le goinfrer à mon tour. On a le droit à quoi ce soir ? Il réfléchit quelques instants avant de répondre d'un air légèrement sadique. Purée de pois il me semble avec ce qu'ils appellent viande de boeuf. Oh non c'est toujours franchement dégueulasse ici ! Je m'approchais des barreaux et lui fit plus beau faux sourire, histoire de l'amadouer un peu. Et si je présentais la carte de fidélité, j'aurais pas le droit à un burger king ? On fait pas de favoritisme ici. Dixit le mec qui vient de parler pendant près d'une heure avec une fille fraîchement arrêtée. Touché. Il s'en alla sans dire un mot de plus, partant chercher un de ces repas bien immonde que je ne mangerais certainement pas. Je retournais donc m'asseoir sur mon lit, me mordant l'intérieur de la joue et regardant autour de moi. Il n'était plus là et à vrai dire je trouvais la salle un peu vide. Je ne savais quoi faire de mon temps. Temps que je passais, il y a quelques minutes encore, à raconter ma vie à un parfait inconnu, ou presque. Je devais avouer qu'il était mignon, mais malheureusement il était flic et les flics sont tous des cons.
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